Uruguay Amnistie. Secrétariat international de juristes pour l'amnistie en Uruguay… À l'occasion du 29e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme, un groupe international de juristes lance un appel pour l'amnistie et le respect des droits de l'homme en Uruguay… Appel…

  • Présentation du contenu :

    [illustration abstraite] / [non identifié]. - Paris : Secrétariat international de juristes pour l'amnistie en Uruguay, [1977] (s.l. : s.n.). - 1 affiche noir et blanc. Date d'après la référence au 29e anniversaire de la déclaration universelle des droits de l'homme du 10 décembre 1948.

  • Date :

    [1977]

  • Description physique :

    Importance matérielle : 1 affiche

    Genre/Carac. phys. : Texte imprimé

    Genre/Carac. phys. : 59 x 44,5 cm

    Genre/Carac. phys. : Papier

    Particularité physique : Pli croisé.

  • Cote :

    CFI/12/130

  • Langue : Français

  • Organisme : Archives CFDT, 47-49 avenue Simon Bolivar, 75019 Paris
  • Origine : Secrétariat international de juristes pour l'amnistie en Uruguay (SIJAU)
  • Biographie ou Histoire :

    En Uruguay, à la suite du coup d’Etat du 27 juin 1973, la dictature de Bordaberry (1973-1985) dissout les partis politiques et suspend la Constitution. Participant à l’opération Condor dès avant sa création officielle en 1975, les escadrons de la mort pourchassent les opposants. C’est dans ce contexte que des exilés uruguayens fondent à Paris en 1976 le Secrétariat international de juristes pour l’amnistie en Uruguay (SIJAU). Le but de cette ONG française est le développement d'un vaste mouvement d'opinion, s'appuyant sur tous les secteurs représentatifs de la communauté internationale (ONG, organisations internationales, partis politiques, etc...) en faveur d'une « amnistie générale et sans restrictions en Uruguay » et le rétablissement des droits démocratiques.

  • Conditions d’accès :

    Communicable

  • Conditions d’utilisations :

    Reproduction par des tiers soumise à autorisation de l'auteur ou de ses ayants droit (jusqu'à 70 ans après sa mort). Les droits patrimoniaux des oeuvres collectives, comme des oeuvres pseudonymes et anonymes, est de soixante-dix ans à compter du 1er janvier de l’année civile suivant celle où l’oeuvre a été publiée (art. 123-3 du CPI). Œuvre orpheline non reproductible par des tiers. En cas d'utilisation, faire porter la mention « Archives CFDT ».

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