Prenons nos affaires en main… PSA. Les étudiants, Pour un syndicalisme autogestionnaire.

  • Présentation du contenu :

    [étudiant portant toutes ses affaires dans ses bras. Texte noir sur fond jaune] / Huré [illustrateur]. - Paris : Pour un syndicalisme autogestionnaire, [ca 1982-1991] (Paris : Imprimerie Utopie, 14-16 passage des Soupirs, 75020). - 1 affiche couleur. Date d'après la période d'existence de PSA.

  • Date :

    [ca 1982-1991]

  • Description physique :

    Importance matérielle : 1 affiche

    Genre/Carac. phys. : Image fixe

    Genre/Carac. phys. : 61,3 x 41 cm

    Genre/Carac. phys. : Papier

    Particularité physique : Pli croisé.

  • Cote :

    CFI/12/238

  • Langue : Français

  • Organisme : Archives CFDT, 47-49 avenue Simon Bolivar, 75019 Paris
  • Origine : Pour un syndicalisme autogstionnaire (PSA)
  • Biographie ou Histoire :

    PSA est un syndicat étudiant français fondé par la CFDT en septembre 1982, sous la houlette de Nicole Notat, membre de la Commission exécutive de la CFDT depuis le mois de mai de la même année. Nombreux sont les rocardiens de l'UNEF-ID, alors présidée par Jean-Christophe Cambadélis, à rejoindre PSA dès sa création. L'équipe dirigeante du jeune syndicat présidée par Jacques Maire, voit son mandat renouvelé lors du premier congrès tenu à Bierville (Boissy-la-Rivière, Essonne), les 9-11 mars 1984. Réformiste et moderniste, PSA participe à la réforme du 1er cycle universitaire initiée par Alain Savary, ministre de l'Éducation nationale. Son audience étant limitée, le syndicat a du mal à survivre au mouvement étudiant de 1986, qui profite à l'UNEF-ID. Faute d'assise suffisante, PSA est infiltré au tournant des années 1990 par des trotskystes, comme l'avait été en 1977 son prédécesseur le Mouvement d’action syndicale (MAS), qui avait alors perdu le soutien de la CFDT. La dissolution de PSA intervient le 13 janvier 1991.

  • Conditions d’accès :

    Communicable

  • Conditions d’utilisations :

    Reproduction par des tiers soumise à autorisation de l'auteur ou de ses ayants droit (jusqu'à 70 ans après sa mort). Les droits patrimoniaux des oeuvres collectives, comme des oeuvres pseudonymes et anonymes, est de soixante-dix ans à compter du 1er janvier de l’année civile suivant celle où l’oeuvre a été publiée (art. 123-3 du CPI). Œuvre orpheline non reproductible par des tiers. En cas d'utilisation, faire porter la mention « Archives CFDT ».

  • Documents séparés :

    Extrait de "La lettre de PSA syndicale", s.d., n°53.

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